Un maître d'école inoubliable !

Pour cette note-ci, il me faut faire un aveu : des dix années scolaires que j'ai suivies au Collège, celle de ma 5^e Primaire fut certainement la plus enrichissante et immanquablement inoubliable.

 Grâce à, dois-je dire, à l'instituteur que l'on surnommait à l'époque « Achille » parce que le nom qu'il portait, ressemblait un peu à celui d'un premier ministre belge socialiste de l'époque que fut Achille Van Acker.  

Sa classe, je la revois encore, était « tapissée » de grandes feuilles noires d'un m² sur lesquelles étaient dessinés en couleurs les continents du monde ; étaient écrits les règles du participe-passé, ou encore des listes de capitales.
Que sais-encore ?  Ce panneaux pédagogiques s'accrochaient presque à hauteur du plafond que l'instituteur allait dépendre à l'aide d'un long bâton pour nous les mettre devant les yeux afin de mieux mémoriser tout qui ce était utile pour la Culture Générale. 

L'élémentaire grammaire française, le raisonnement logique pour résoudre les problèmes, la localisation des pays d'Asie ou autre,  le dessin en perspective ainsi que la curiosité pour la botanique : je le dois à ce Maître d'Ecole qui était Monsieur Ghislain Van Achter.

Au travers de ce blog, avec un recul de plus de 50 ans, je veux lui rendre un hommage posthume en préparant d'autres notes à son sujet.
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Photo : dessin personnel du cours de sciences, copié du tableau.

COMMENTAIRES

Merci Michel, ça me fait réellement plaisir ce que tu dis à propos de mon papa.
Trois de ses 5 fils ont fait une carrière dans le dessin, tu dois t'en souvenir, car durant les vacances en 1968 j'ai travaillé au departement Stalton....
Souvenirs...

Écrit par : VAN ACHTER Pierre | mardi, 15 février 2011

Cher Pierre,
C'est en toute sincérité que j'ai mis sur papier ce beau souvenir scolaire, rendant hommage à la mémoire de cet instit' qu'on avait surnommé "Achille"... parce qu'à l'époque, un certain "Achille Van Acker" était devenu premier ministre en Belgique.
Quant à l'année 1968 et ton passage au Stalton,... non, je n'en ai jamais eu connaissance.
Bien amicalement.

Écrit par : MDW | vendredi, 18 février 2011