Une professeur de l'Institut Saint-Henri, Madame Biltresse, souhaiterait (souhaitait ?) obtenir quelques renseignements précis au sujet des trois photos, très anciennes, prises durant l'époque du premier directeur-fondateur, le Principal Arhtur Camerlynck.
Qui pourrait dater exactement ces clichés ?
Quelqu'un reconnait-il un étudiant qui y figure ?
L'Institut Saint-Henri qui prépare activement son prochain 70e anniversaire serait très heureux de recevoir un signe.
Quelqu'un reconnait-il un étudiant qui y figure ?
L'Institut Saint-Henri qui prépare activement son prochain 70e anniversaire serait très heureux de recevoir un signe.
COMMENTAIRES
Sur la troisième photo les élèves de primaire sont encadrés par Noel Dumont et le père Delrue donc après le départ de l'abbé Vanraes
Écrit par : yvon clynckemaillie | lundi, 08 mars 2010
Merci Yvon pour l'intérêt. Mais, le mot "après le départ" ne devait-il pas s'écrire "avant l'arrivée" ?
Écrit par : Collégien MDW | lundi, 08 mars 2010
c'est bien après mais je vérifierai encore;
Écrit par : yvon clynckemaillie | lundi, 08 mars 2010
Je crois reconnaître sur la première photo, l'abbé Desmet qui fut, après avoir été prof de maths (je crois), vicaire à Warneton et curé à Capelle.
Toqué, des années 1955 à 1961, j'en garde un souvenir particulier !
J'ai appris les rudiments du clavier et de la sténo sous Pierre Dendoncker (Pitche ?)
De nature dissipée...la frappe "à l'aveugle" aurait dû me convenir car j'avais bien souvent les yeux au plafond ! Mais, malgré tout, j'ai toujours gardé un oeil sur le clavier !
Résultat : en fin d'année.... examen de passage en dactylo ! Le seul que j'ai eu tout au long de mes études à St-H !
Comment faire pour rattraper ce retard ?
Ma mère, catholique pratiquante (journellement) en toucha un mot à "smetche" qui m'autorisa à user de sa machine à écrire à condition qu'il puisse m'initier aux échecs, brisant ainsi sa solitude pendant quelque temps !
La tâche fut rude.... non pas pour moi, mais pour lui, car je me suis révélé non seulement être un piètre dactylo mais surtout le plus nul des joueurs d'échecs.
Mais, lorsque par hasard, j'arrivais à lui piquer un pion, alors...il tirait à fond sur sa bouffarde
en envoyant un nuage toxique de toubac de wervik sur l'échiquier !
La guerre était finie !
A la fin des vacances, je passais l'épreuve sans mal. C'était en 57 (je crois)
Toqué, des années 1955 à 1961, j'en garde un souvenir particulier !
J'ai appris les rudiments du clavier et de la sténo sous Pierre Dendoncker (Pitche ?)
De nature dissipée...la frappe "à l'aveugle" aurait dû me convenir car j'avais bien souvent les yeux au plafond ! Mais, malgré tout, j'ai toujours gardé un oeil sur le clavier !
Résultat : en fin d'année.... examen de passage en dactylo ! Le seul que j'ai eu tout au long de mes études à St-H !
Comment faire pour rattraper ce retard ?
Ma mère, catholique pratiquante (journellement) en toucha un mot à "smetche" qui m'autorisa à user de sa machine à écrire à condition qu'il puisse m'initier aux échecs, brisant ainsi sa solitude pendant quelque temps !
La tâche fut rude.... non pas pour moi, mais pour lui, car je me suis révélé non seulement être un piètre dactylo mais surtout le plus nul des joueurs d'échecs.
Mais, lorsque par hasard, j'arrivais à lui piquer un pion, alors...il tirait à fond sur sa bouffarde
en envoyant un nuage toxique de toubac de wervik sur l'échiquier !
La guerre était finie !
A la fin des vacances, je passais l'épreuve sans mal. C'était en 57 (je crois)
Écrit par : l'abeille | vendredi, 12 mars 2010
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