Tel était le titre de cette « revue mensuelle des classes terminales Rhétorique et de la 6e Commerciale », le l'année scolaire 1960 - 1961. ainsi que des années scolaires suivantes !
A combien était tiré ce périodique fabriqué sur la stencyleuse du Collège ?
Dactylographié par les étudiants finalistes de Secondaire !
Dont les articles étaient pondus par les fines plumes qui avaient quelque chose à dire (oui !), à revendiquer (non !), à vanter (souvent !).
Dactylographié par les étudiants finalistes de Secondaire !
Dont les articles étaient pondus par les fines plumes qui avaient quelque chose à dire (oui !), à revendiquer (non !), à vanter (souvent !).
Ce fascicule d'une vingtaine de pages était vendu au prix imposé de 5 francs aux étudiants de la grande étude : celle de l'abbé Michiels ! C'est d'ailleurs lui qui en rédigeait l'éditorial mensuel.
Exemple du tout premier numéro :
« Un Flash, c'est un supplément de lumière et de vie. Il donne aux personnes et aux choses un nouveau relief, il rend lumineux et vivifiant ce qui à jamais serait resté dans l'ombre et dans l'oubli. »....
Et pour terminer, il écrivait encore....
« Je leur souhaite bon succès, beaucoup d'inspiration et surtout un excellent accueil pour tous les étudiants aux différents numéros de « Flash » qui sortiront cette année des presses de Saint-Henri. »
« Un Flash, c'est un supplément de lumière et de vie. Il donne aux personnes et aux choses un nouveau relief, il rend lumineux et vivifiant ce qui à jamais serait resté dans l'ombre et dans l'oubli. »....
Et pour terminer, il écrivait encore....
« Je leur souhaite bon succès, beaucoup d'inspiration et surtout un excellent accueil pour tous les étudiants aux différents numéros de « Flash » qui sortiront cette année des presses de Saint-Henri. »
La dernière page du 1er numéro révélait les noms de toute la rédaction :
- Rédacteur en chef : Robert Lebrun
- l'Adjoint : Raphaël Lauwers
- les Journalistes : Ghesquière, Janssens, Glorieux, Verstraete, Malfrère, Thiébaut, Descamps F, Vancauwenberghe M.
- Dactylographes : De Campenaere, Génart, Leclercq,
- Dessinateurs : Vincken et De Campenaere ! (encore lui )
- Rédacteur en chef : Robert Lebrun
- l'Adjoint : Raphaël Lauwers
- les Journalistes : Ghesquière, Janssens, Glorieux, Verstraete, Malfrère, Thiébaut, Descamps F, Vancauwenberghe M.
- Dactylographes : De Campenaere, Génart, Leclercq,
- Dessinateurs : Vincken et De Campenaere ! (encore lui )
Dans de prochaines notes, les Anciens Collégiens bientôt septuagénaires auront l'occasion de relire quelques-uns de ces articles !
COMMENTAIRES
J'ai la mémoire qui flanche........mais en 60-61 notre grand NEUZE était déjà directeur et c'est à ce titre qu'il surveillait!!!! le flash
Écrit par : yvon clynckemaillie | mardi, 04 mai 2010
Non, Yvon, en 1960, il n'était pas encore Directeur.C'est bien en tant que surveillant que "Neuze" écrivit cet éditorial.
Ce n'est qu'en février 1961, juste après la retraite, que la décision épiscopale fut annoncée aux collégiens : Le Principal nous quitte et s'en va comme Recteur à Brugge, il sera remplacé à la direction par l'abbé Michiels. C'est l'abbé André Decock qui reprit au pied levé la surveillance de la grande section.
Mais... Aymar Michiels qui a sans doute encore le goût de la belle prose, a toujours apporté son concours au Flash, par la suite.
Ce n'est qu'en février 1961, juste après la retraite, que la décision épiscopale fut annoncée aux collégiens : Le Principal nous quitte et s'en va comme Recteur à Brugge, il sera remplacé à la direction par l'abbé Michiels. C'est l'abbé André Decock qui reprit au pied levé la surveillance de la grande section.
Mais... Aymar Michiels qui a sans doute encore le goût de la belle prose, a toujours apporté son concours au Flash, par la suite.
Écrit par : Collégien MDW | mardi, 04 mai 2010
merci pour la précision
Écrit par : yvon clynckemaillie | mardi, 04 mai 2010
Mais... où va-t-il chercher tout çà !
Si ça continue il va me publier ?
:-)
5 francs, à l'époque ? C'était le prix d'un chocolat Jacques vendu sous le manteau par..JL ?
MDW, tu dois savoir, toi qui sais tout !
Si ça continue il va me publier ?
:-)
5 francs, à l'époque ? C'était le prix d'un chocolat Jacques vendu sous le manteau par..JL ?
MDW, tu dois savoir, toi qui sais tout !
Écrit par : l'abeille | mardi, 04 mai 2010
Un super marchand c'était Eric Beyls; un jour,il s'est fait confisquer sa marchandise par l'abbé Decock mais dès le lendemain,sa boutique était réapprovisionnée.J'en ai mangé des chocolats Jacques;je préférais le fourré praliné mais me rabattait sur le mokarhum quand il le fallait.
Écrit par : yvon clynckemaillie | mercredi, 05 mai 2010
Plus tard, puisque je faisais partie d'une génération ou deux sous la votre, nous allions en douce chez Maurice ( DESBUQUOIT) de l'autre côté de la chaussée de Wervicq. Les externes de plus en plus nombreux approvisionnaient ainsi les internes en chocolats et autres friandises liquides ou tabagiques, et nous en profitions pour aller boire une bonne bière dans le porche de Maurice à cote de son magasin...
A notre décharge, il faut dire qu'à l'époque, les externes cominois pouvaient encore rentrer 'goûter) à quatre heures, et de toutes façons rentraient diner, et c'est bien souvent au retour de ces sorties autorisées que nous allions rendre visite à Maurice, quoique, j'ai le souvenir de "fuites" par le couloir le long de la chapelle.....
A notre décharge, il faut dire qu'à l'époque, les externes cominois pouvaient encore rentrer 'goûter) à quatre heures, et de toutes façons rentraient diner, et c'est bien souvent au retour de ces sorties autorisées que nous allions rendre visite à Maurice, quoique, j'ai le souvenir de "fuites" par le couloir le long de la chapelle.....
Écrit par : michel declercq | mercredi, 05 mai 2010
Eric Beyls !
Je me suis toujours demandé pourquoi c'était un copain à notre Gilbert !
Je le fréquente encore de temps à autre...nous ventilons les mêmes ruches...
Il n'y a pas si longtemps, quand l'abeille fut malade, le bourdon prit la relève !
Mais, mon cher Moly, tu me mets le miel à portée de dard...je t'en prie, ne me parle pas de fourré praliné et encore moins de mokarhum, sinon...tu sais la banane, c'était pas mal non plus...(y faisaient un prix...c'étaient les derniers !)
l'abeille chocolatée !
Je me suis toujours demandé pourquoi c'était un copain à notre Gilbert !
Je le fréquente encore de temps à autre...nous ventilons les mêmes ruches...
Il n'y a pas si longtemps, quand l'abeille fut malade, le bourdon prit la relève !
Mais, mon cher Moly, tu me mets le miel à portée de dard...je t'en prie, ne me parle pas de fourré praliné et encore moins de mokarhum, sinon...tu sais la banane, c'était pas mal non plus...(y faisaient un prix...c'étaient les derniers !)
l'abeille chocolatée !
Écrit par : l'abeille | jeudi, 06 mai 2010
A Michel: il y avait un magasin juste en face de la sortie rue de Wervik,un café juste à coté et aussi le café de l'alliance.Comme l'a si bien dit l'abeille fallait pas se faire coincer d'autant plus qu'à l'époque,les profs laics devaient(!!!) jouer au rapporteur.Y avait pas que Roger mais il y a prescription et certains sont devenus amis ou collègues. Ah oui les ventes aux internes étaient mal vues parce que cela nuisait aux ventes pour les missions
Écrit par : yvon clynckemaillie | jeudi, 06 mai 2010
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