14/11/2017

Les récréations !

Alors que nous étions encore en « Petite Section », lorsque sonnait l'heure de la récréation, le maître d'école nous commandait de nous mettre en rangs par deux pour nous conduire jusqu'aux toilettes,... de quoi s'assurer sans doute, qu'à la reprise de la classe, plus personne ne doive s'absenter (ni se "retenir") pour/avant « aller faire pipi ».

Pour les récréations proprement dites, je n'ai point de souvenirs précis sinon que, durant le troisième trimestre, nous pouvions apporter nos billes et en jouer sur le parterre de terre battue qui délimitait le côté ouest de la grande cour de récréation.
Parmi nous, il y avait des champions (et je pense à feu notre ami Dany Dewilde) pour « tiquer » : un véritable jeu d'adresse aux billes, comparable à celui de la pétanque.
Mais attention, il était formellement interdit de « caler », un jeu insidieux qui aurait pu engendrer chez les enfants le goût des « jeux du hasard » où le joueur risquait de perdre toutes ses billes en même temps que son...  âme.

COMMENTAIRES
Que de kilomètres parcourus dans cet espace de récré avec nos " patins à roulettes".
Écrit par : M.Dupon | dimanche, 14 mars 2010

En 1949 la cour des primaires était encore en cendrée et des grands y jouaient au foot.Ce que je connais le mieux c'est le parterre autour duquel les instituteurs faisaient tourner les punis
Écrit par : yvon clynckemaillie | dimanche, 14 mars 2010

Les récrés !
Pauses bénies pour les petits commerces en tous genres : chocolats Jacques, cigarettes...qu'on s'empressait d'aller griller derrière les portes des toilettes !
A la reprise, élèves et profs sentaient la clope. L'un de mes titulaires était principalement accro à la Richmond.....avec un R comme...? !
Écrit par : l'abeille | lundi, 15 mars 2010

Une anecdote : pendant ces récréations : "Interdiction formelle de s'asseoir sur les barres , sous peine de punition !"
Plus fort encore, ma troisième fille s'était assise par terre, pourtant d'une autre génération, fin des années 90 : résultat : une retenue le samedi suivant !
Écrit par : Francis JOSEPH | mardi, 25 mai 2010

Personnellement, j'ai toujours trouvé une disproportion entre certains faits.
Les professeurs de notre troisième fille ont toujours été très étonnés de cette punition, et moi aussi d'ailleurs.
Mais bon : le parfait ne fait pas partie de ce bas-monde.

Écrit par : Francis JOSEPH | mardi, 25 mai 2010

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